Le savoir faire lyonnais en matière de lumière s'exporte dans le monde entier
nous somme sur la place des Terreaux, la police fait rentrer ou sortir les gens de la place pour éviter les débordements. Cette place, celle sur laquelle se trouve la fontaine et ses chevaux
écumants, la facade de la mairie centrale, et la façade du musée des beaux arts
C'est un partage, pas un reportage, Vous reconnaitrez la pluie, la glace, les fleurs, la neige, enfin... je le souhaite !!
Hier, samedi 5 décembre, Lyon a revêtu ses habits de lumière comme chaque année au moment des fêtes de Noël. un magnifique berceau de lumières du 5 au 8
décembre. Plus de 50 points d'attraction. Me croirez vous si je vous dis que je n'ai pas tout vu ???
En 1850, les autorités religieuses lancent un concours pour la réalisation d’une statue, envisagée comme un signal religieux au sommet de la colline de
Fourvière. Un an plus tard, ce concours est remporté par le sculpteur lyonnais Fabisch, et la date du 8 septembre 1852 est choisie pour son inauguration. Mais
au mois d’août, la Saône sort de son lit et envahit le chantier où la statue doit être réalisée L’inauguration est donc reportée au 8 décembre, fête de l’immaculée conception. Le jour même, les
journaux annoncent le programme de la soirée et toute la ville se prépare pour l’événement. Quelques uns prévoient même d’illuminer les façades de leurs habitations à l’aide de bougies. Mais le
mauvais temps va à nouveau contrarier les réjouissances, contraignant les autorités religieuses à remettre l’inauguration au 12 décembre. Malgré ce
contrordre, l’enthousiasme des Lyonnais ne fut pas éteint. Les lyonnais pour illuminent malgré le mauvais temps leurs fenêtres le 8 et cette date restera.
Le jour du 8 septembre, une grande procession avec les prélats, en mémoire à l'origine de la fête religieuse
Sur la place Bellecour, au cœur de la cité des Gaules, je vous en ai parlé sur l'article "en attendant
Noel'
Indulgence pour les photos beaucoup de monde, mon flash ne fonctionne plus, mais je ne capitule pas pour autant La mise en scène est originale, il y aura d'autres
prouesses..
au gré de ma balade je vous ferai partager mon émerveillement.
Il y a quelque chose de menaçant derrière le silence (Chinua Achèbe)
Une œuvre du sculpteur César Baldaccini, à laquelle les lyonnais sont particulièrement attachés !
Malheureusement cette œuvre appartient à un collectionneur privé, la Ville de Lyon ne s'en étant pas portée acquéreur en temps voulu.
Il s'en est ensuivi plusieurs années de procédure juridique pour tenter de conserver l'œuvre en
place…
Je ne sais pourquoi elle est actuellement entourée de barrières, la rendant difficile à photographier…
Après la grande la vogue aux marrons
la place sur lequel trône Jacquard, vient se mettre en place les petites maisons du marché de Noel, les enfants
vont découvrir une ferme avec ses animaux et tout plein de jolies choses, voila l'installation
La déformation de buxum, : buis. Le village était autrefois entouré de buis, que les moines de l’abbaye de Savigny ont défrichés. Sympas les moines.
Notre maire Louis Pradel qui en était originaire, avait certainement gardé l’amour des fleurs, car c’est sous son mandat que la célébrissime roseraie au parc de la
tête d’or a été plantée ;
C’est un village de 1969 habitants, Nous nous apercevons ainsi la belle énergie qui anime les villageois pour perpétuer ce festival de musiques mécaniques et aussi
avoir une belle exposition sur les limonaires et la musique
Une récente découverte montre que la toute première voix enregistrée serait la voix d'une femme chantant, le 9 avril 1860, la comptine pour enfants Au clair de la Lune grâce à un
"phonautographe" inventé par le français Édouard-Léon Scott de Martinville. Son appareil pouvait enregistrer le son mais n'était pas capable de le
restituer. Ce qui nous arrivera très vite avec les CD, clef and co, si nous n'avons pas le bon truc pour lire ce qui est dessus.
Dans une salle communale une exposition temporaire sur les instruments qui font de la musique.
Une belle collection, avec les amis collectionneurs qui arrangent leur bébé, le regarde avec amour. Il y a vraiment beaucoup de monde, c'est du touche touche, et
j'ai pas mal de difficultés pour prendre un cliché potable
le TEPPAZTEPPAZ, sur lequel les "anciens'' ont fait leurs boums enflammées. Fastoche de l'emporter avec soi.
Voilà, la musique retourne dans son grenier, j'ai fini ma promenade musicale avec vous. L'année prochaine le festival fête ses 30 ans. Une date importante pour les amoureux de la musique
mécanique.
Toujours sous un soleil de plomb, habillés en costumes 1900, les danseurs évoluent comme dans un rêve. Tous semblent heureux d'être là, avec nous,
sous le soleil, dans des quadrilles enflammés.
juste au-dessous de ce nom de rue très évocateur, un chanteur
nous sommes conviés à chanter l'hymne à l'amour. Facile ... certainement pas, mais tout le monde chante, le bonheur dans le partage.
chante la vie chante
un groupe lyonnais, qui lui entonne le folklore de chez nous. Bien sur, je suis au point pour les chabadabadas
Enfant, j'ai le souvenir des chanteurs des rues. Nous habitions dans un
immeuble au 3eme étage, avec une cour intérieure. La porte d'entrée de l'immeuble était ouverte à tous. Ce qui faisait que parfois un chanteur ou une chanteuse se glissait dans la cour, entamait
sa complainte. Ma mère cherchait en toute hâte une piecette qu'elle fermait dans un petit tire bouchon de papier journal, Elle ouvrait la fenêtre, la lançait sans se pencher à l'extérieur.
Là on entendait la musique s'arrêter pour repartir de plus belle, après un Merci m'dame.
Le 31 août dernier, je sors de chez moi pour rejoindre une amie. Zut, j'ai oublié mon appareil photos. Zut il pleut. Zut le bus ne va pas à l'arrêt. Zut je dois descendre, Zut que se passe t il,
Zut je n'ai jamais pris de photos avec mon téléphone Zut, si je prends des photos je ne sais pas les transférer. J'apprendrai.
Aujourd'hui j'ai réussi à les transférer, je n'ai pas encore réussi à mettre la musique sur mon téléphone. Mais je suis sur la bonne voie
Alors voilà pourquoi le bus s'est tout d'un coup arrêté en début de cortège Marguerite ..
ca ne manque pas d'intérêt que d'être là, meme sans son ami l'apn
les sarments, ce sont des viticulteurs en colère qui défilent
je me suis ressentie comme la journaliste qui couvre son article du siècle.
Mais j'ai abandonné mon reportage en route, car le cinéma n'attends pas c'était bien un temps cinoche
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