SAMEDI 15 JANVIER KANCHIPOURAM – BENGALORE
Nous déjeunons dans la chambre avant de partir, car pas folles les filles, nous avons une résistance, un bol métal, du café. La veille au bazar nous avons acheté une brioche fourrée, heureuse découverte elle est sucrée et non épicée. Autoroute le long de laquelle défilent des palmeraies, les paysages changent.
Arrêt pipi, pas de souci, on tourne à droite, c’est permis, on coupe la file montante, pas de problème, Station-service, où je découvre que le prix des divers carburants, car énormément de motos, est assez élevé.
Ce que nous pensions être un village est en fait une ville moyenne, mais je finis par comprendre que village tutoie certainement 200 000 personnes Devant les maisons de beaux dessins à la craie aux multiples formes et couleurs, chouette.
Le chauffeur doit faire à nouveau des contrôles, il s’arrête et nous partons à pied sur la route, passant nous avons vu un peintre qui faisait une fresque sur le mur au bord de la route. Encore un contraste
Assis sous une toile, une carte postale dans une main, le pinceau dans l’autre, il décore les murs. Un travail de longue haleine, avec un beau résultat.
Nous arrivons vers 14 heures à Bengalore, recherche de l’hôtel un vrai parcours du combattant. Impossible pour Sethu de se garer, ça roule dans tous les sens (7.5 M d’habitants) la ville est très étendue.
Nous sommes chèrement logés mais bien, eau chaude à volonté, pas désagréable, internet aussi et important une place pour l’auto. La rue derrière notre hôtel se sont des logements à ciel ouvert. La misère .
PILER
dialoguer
SOURIRE
nous sommes à proximité d’une église ou ils chantent à tue-tête, et une mosquée, qui muezzine bien souvent. Fenêtres fermées et bouchons dans les oreilles c’est bien juste. Les cloches commencent à 7 heures et dernier coup à 22 heures, L’appel des fidèles, c’est un peu toute la nuit. Nous sommes également dans le quartier des pneus.
EMPILAGE
Les échoppes minuscules, remplies jusqu’au plafond.
nous allons au City Bazaar, différent du précédent, toujours très animé. Enfin je peux boire un jus d’orange pressé, car dans le coin c’est plus la cane à sucre. Nous découvrons le quartier des grossistes en tissu
C’est un festival de couleurs, de paillettes, de broderies. ca brille, ca pétille, ca sourit, c’est super.
Il fait nuit noire, nous décidons de retourner à pied à l’hôtel. Les voitures roulent vite, les motos et 2 track aussi, Un grand moment de solitude, personne ne te laisse passer. Nous prenons un en-cas dans la chambre, une douche bien méritée et au lit